| Titre : | éthique à Nicomaque |
| Auteurs : | Aristote, Auteur ; Aristote, Auteur ; Saint-Hilaire, Traducteur ; Barthélemy Saint-Hilaire, Traducteur ; Alfredo Gomez-Muller, Traducteur ; Alfredo Gomez-Muller, Traducteur |
| Type de document : | texte imprimé |
| Editeur : | Paris : Librairie générale française, 1992 |
| Autre Editeur : | 72-Sarthe : Impr. Brodard et Taupin |
| Oeuvres / Expressions : |
?thique ? Nicomaque [ ] ; 1992 ; fran?ais éthique à Nicomaque [ ] ; 1992 ; français |
| Collection : | Le Livre de poche, ISSN 0248-3653 |
| Sous-collection : | Classiques de la philosophie, num. 4611 |
| ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-253-05772-7 |
| Format : | 447 p. / couv. ill. en coul. / 17 cm |
| Note générale : | Bibliogr. p. 439-441 |
| Langues: | Français |
| Langues originales: | Grec classique |
| Index. décimale : | 100 |
| Résumé : | Aristote Ethique à Nicomaque Toute la pensée platonicienne reposait sur une union parfaitement intime entre la vie intellectuelle, morale et politique : la philosophie, par la science, atteint la vertu et la capacité de gouverner la cité. Tout cela se dissocie chez Aristote : le bien moral ou bien pratique, c'est-à-dire celui que l'homme peut atteindre par ses actions, n'a rien à voir avec cette Idée du Bien que la dialectique mettait au sommet des êtres ; la morale n'est pas science exacte comme les mathématiques, mais un enseignement qui vise à rendre les hommes meilleurs, et non seulement à leur donner des opinions droites sur les choses à rechercher ou à fuir, mais à les leur faire effectivement rechercher ou fuir. Emile Brehier. Oeuvre de maturité, l'Ethique à Nicomaque est le grand texte de la morale aristotélicienne. A partir des notions de Vertu, de Courage, de Justice, de Plaisir, d'Amitié, etc., le philosophe définit l'architecture d'une sagesse à « hauteur d'homme » qui renoue avec l'esprit grec dont Platon s'était partiellement détaché. Le bonheur apparaît comme la « fin » véritable de l'existence, l'action étant alors le « moyen » propre à l'atteindre. C'est pourquoi on peut dire qu'avec Aristote la morale revient dans le monde et fixe les normes d'un savoir-vivre qui réunit le plaisir et l'ascèse. Révision de la traduction, commentaires et notes par Alfredo Gomez-Muller. Aristote Ethique à Nicomaque Toute la pensée platonicienne reposait sur une union parfaitement intime entre la vie intellectuelle, morale et politique : la philosophie, par la science, atteint la vertu et la capacité de gouverner la cité. Tout cela se dissocie chez Aristote : le bien moral ou bien pratique, c'est-à-dire celui que l'homme peut atteindre par ses actions, n'a rien à voir avec cette Idée du Bien que la dialectique mettait au sommet des êtres ; la morale n'est pas science exacte comme les mathématiques, mais un enseignement qui vise à rendre les hommes meilleurs, et non seulement à leur donner des opinions droites sur les choses à rechercher ou à fuir, mais à les leur faire effectivement rechercher ou fuir. Emile Brehier. Oeuvre de maturité, l'Ethique à Nicomaque est le grand texte de la morale aristotélicienne. A partir des notions de Vertu, de Courage, de Justice, de Plaisir, d'Amitié, etc., le philosophe définit l'architecture d'une sagesse à « hauteur d'homme » qui renoue avec l'esprit grec dont Platon s'était partiellement détaché. Le bonheur apparaît comme la « fin » véritable de l'existence, l'action étant alors le « moyen » propre à l'atteindre. C'est pourquoi on peut dire qu'avec Aristote la morale revient dans le monde et fixe les normes d'un savoir-vivre qui réunit le plaisir et l'ascèse. Révision de la traduction, commentaires et notes par Alfredo Gomez-Muller. Aristote Ethique à Nicomaque Toute la pensée platonicienne reposait sur une union parfaitement intime entre la vie intellectuelle, morale et politique : la philosophie, par la science, atteint la vertu et la capacité de gouverner la cité. Tout cela se dissocie chez Aristote : le bien moral ou bien pratique, c'est-à-dire celui que l'homme peut atteindre par ses actions, n'a rien à voir avec cette Idée du Bien que la dialectique mettait au sommet des êtres ; la morale n'est pas science exacte comme les mathématiques, mais un enseignement qui vise à rendre les hommes meilleurs, et non seulement à leur donner des opinions droites sur les choses à rechercher ou à fuir, mais à les leur faire effectivement rechercher ou fuir. Emile Brehier. Oeuvre de maturité, l'Ethique à Nicomaque est le grand texte de la morale aristotélicienne. A partir des notions de Vertu, de Courage, de Justice, de Plaisir, d'Amitié, etc., le philosophe définit l'architecture d'une sagesse à « hauteur d'homme » qui renoue avec l'esprit grec dont Platon s'était partiellement détaché. Le bonheur apparaît comme la « fin » véritable de l'existence, l'action étant alors le « moyen » propre à l'atteindre. C'est pourquoi on peut dire qu'avec Aristote la morale revient dans le monde et fixe les normes d'un savoir-vivre qui réunit le plaisir et l'ascèse. Révision de la traduction, commentaires et notes par Alfredo Gomez-Muller. |
| Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
|---|---|---|---|---|---|
| 11836 | 100 ARI | Livre | Réserve | 100 - Philosophie, Parapsychologie et Occultisme, Psychologie | Libre accès Disponible |
| 11837 | 100 ARI | Livre | Réserve | 100 - Philosophie, Parapsychologie et Occultisme, Psychologie | Libre accès Disponible |
| 11838 | 100 ARI | Livre | Réserve | 100 - Philosophie, Parapsychologie et Occultisme, Psychologie | Libre accès Disponible |
| 11839 | 100 ARI | Livre | Réserve | 100 - Philosophie, Parapsychologie et Occultisme, Psychologie | Libre accès Disponible |
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